Uy! que tiempo sin escribir en mi blog, pero bueno, aqui estoy.
Esta vez lo haré bilingüe, castellano y francés.
Me quedé en el babero, pero después del babero vino mucho más!
Paris es una ciudad maravillosa, terrible y adorable, una mezcla de sentimientos. Para algunos una adicción, para otros un sueño, para otros un monstruo sagrado.
Caminar por Paris, no hay nada mejor, todos los barrios tienen vida, comercio, historia, gente por todas partes, es una capital ruidosa y solemne, llena de detalles, llena de cultura. Parece de mentira cuando una camina por el borde del Sena, cerca de las Tullerias o del museo d'Orsay, decir "yo vivo aquí" es tan irreal, pero es así, yo viví en Paris.
Paris me trato bien con sus museos, cines para niños, movimiento, tímidos rayos de sol en inviernos congelados. Léon vió la luz en un día soleado de octubre por la primera vez, en el hospital Notre Damme de bonne Secour. Emma tuvo su primer día de maternelle en el 14eme, fué al cirque d'hiver, fue al cine, al teatro, aprendió circo en las clases de gimnasia y odió la cantine. Paris me hizo encontrar amigas maravillosas llenas de proyectos, ideas, energía, alegría, risas, de esas personas que sientes conocerlas de toda la vida.
Después Paris se volvió impersonal, lejano, gris. Dejó ver su lado frió. Al mismo tiempo que Léon, llegaron las enfermedades, los resfríos y la temida gripe A que tanto miedo nos inyectó. El ruido se hizo insoportable, el espacio se hizo pequeño. Emma no quería ir nunca al colegio, Yo no dormía nada...al final todos enfermos.
Paris me dejó caer del piso 50 de la tour Montparnasse, pero sobreviví. Sobreviví y la dejé, me fuí, volvi a la calma, a la tranquilidad (a ratos un poco fome) de Nîmes, éste pueblito que nos recibió con su cielo turqueza, sus inviernos soleados y sus veranos sofocantes.
Emma ama su colegio y hasta la cantine, Léon recuperó fuerzas y es un gordo demasiado rico. Crsitóbal y yo felices de poder estar tranquilos, de tener un patio donde hacer asaditos, de invitar a todos los amigos y alegrarse de escuchar gritos de niños, verlos correr y jugar, reencontrarse. Yo feliz de tener espacio para mis máquinas, para coser y pensar en más proyectos.
Extraño Paris, no. Más que Paris extraño las amigas que en poco tiempo me hice, extraño nuestros tecitos invernales con pan d'epices de Malakoff, extraño nuestras conversaciones, nuestras ideas, el movimiento. No se puede tener todo, y bueno, prefiero coser escuchando los pajaros cantar, o las cigarras cantar que las sirenas y motores de los autos que pasaban día y noche por la avenida General leclerc.
Paris je t'aime moi non plus...
Oups! ça fait un moment sans avoir écris dans mon blog, mais bon, voilá moi!.
Cette fois, je vais être bilingue en espagnol et en français.
Je suis resté au bavoir, mais après ça ce sont passé pas mal de choses!
Paris est une ville magnifique, terrible et belle, un mélange de sentiments. Pour certains, une addiction, pour d'autres un rêve, pour d'autres un monstre sacré.
Se promener pour Paris, il n'y a rien de mieux, tous les quartiers sont vivants, plein des belles boutiques, plein d'histoire, des gens partout et de tout le monde. Paris est une ville bruyante et solennelle, riche en détails, plein de culture. Quand on marche au bord de la Seine, près des Tuileries et le Musée d'Orsay, on c'est dit: «J'habite ici» pour moi ça a reste toujours un peu irréel, mais c'était vrai, j'ai vécu à Paris.
Paris m'a bien traité, avec ses musées et ses cinémas pour enfants. Paris c'est une ville qui bouge, qui ne dort pas. Paris à des cadeaux éphémères comme un timide rayon de soleil dans un hiver gelé. Léon a vu la lumière une journée ensoleillée en Octobre pour la première fois à l'hôpital Notre-Damme de bonne Secour. Emma avait sa première journée d'école maternelle dans le 14EME, elle est allée au Cirque d'hiver, au cinéma,au théâtre, elle a appris "le cirque" au cours de gym et détestait la cantine. Paris m'a fait rencontrer plein d'amies merveilleuses, avec plein des projets, des idées, de l'énergie, de la joie, de rires, des ces gens qu'on croit connaître de toute la vie.
Paris est alors devenu impersonnel, distant, gris. Il m'a montré l'autre côté . Dans le même temps que Léon est arrivé, on est tombé malades, les rhumes et la redouté grippe A de laquelle nous avons très peur. Le bruit était insupportable, l'espace est devenu trop petit. Emma ne voulait jamais aller à l'école, je n'ai dormait plus du tout ... à la fin nous tous étions malades.
Paris m'a laissé tomber de l'etage plus haut de la Tour Montparnasse, mais j'ai survécu. J'ai survécu et je la quitté, je suis parti et j'ai retourné au calme, à la tranquillité (parfois ennuyeux) de Nîmes, la ville qui nous a accueillis avec son ciel bleu turquoise, ses hivers ensoleillés et ses étouffants étés.
Emma aime son école et même la cantine, Léon repris des forces et est une petite très mignon. Cristóbal et moi, nous sommes heureux d'être là, d'avoir une terrasse avec un barbecue, pour inviter tous les amis. C'est génial d'entendre les rires des enfants, les voir courir et jouer, se retrouver. Je suis tellement heureux d'avoir la place pour mes machines à coudre!! Ça me donne envie de penser à des nouveaux projets.
Paris me manque? Non. Il me manque les amis que j'ai fait là bas, il me manque les après midi d'hiver avec un tasse de thé et avec du pain d'épices du Malakoff, nos conversations me manquent, nos idées et le mouvement. On ne pouvez pas tout y avoir, et bien, je préfère écouter les oiseaux ou les cigales chanter au bruit des sirènes et les moteurs de voitures pendant toute la journée et toute la nuit ou long de l'Avenue du Général Leclerc.
Paris je t'aime moi non plus ...
